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Militants de l'Espoir à gauche réunit toutes celles et tous ceux qui soutiennent la ligne politique de Ségolène Royal pour une gauche démocratique, sociale, et écologique.

"Qu'est ce que le Ségolénisme ?" par Sandrine Piaskowski (références/sources 2/2)

[101] - Claire Lévy-Vroélant, Nonfiction.fr

 

 

[102] - Il s’agit de « montrer comment les tâches liées au care sont davantage susceptibles d’être universalisées et donc prises en compte dans les revendications de justice qu’on ne pourrait tout d’abord le croire »

 

 

[103] - sur ces questions , Elisabeth Badinter dans la lignée du féminisme égalitariste fondé en France par Simone de Beauvoir, évoque dans son livre Fausse route, les dangers du féminisme différentialiste qui en reparlant de nature féminine ( essentialisme) et de dualité des sexes ( différentialisme) prend le risque de « reconstruire la prison des genres »

 

 

[104] - voir la présentation d’ ALAIN CAILLÉ et PHILIPPE CHANIAL , Revue du MAUSS, n°32, second semestre 2008 , L’amour des autres care, compassion et humanitarisme : « Dans les catégories de L. Kohlberg, cette préférence pour la relation, pour le lien, marquerait leur immaturité morale, donnant ainsi une apparente caution scientiÞque aux antiques croyances en l’infériorité des femmes. Dès lors, suggérait C. Gilligan, la seule façon d’afÞrmer l’égalité des femmes et de lutter pour elle, consiste à afÞrmer leur différence. À faire entendre cette « voix différente », ce dialecte féminin de la sollicitude, l’éthique du care, que le dialecte masculin, l’éthique de la justice, tend à étouffer. On devine les questions qui ne pouvaient manquer de surgir alors. Cette différence, si elle est avérée (il semble bien qu’elle le soit), est-elle naturelle, inscrite dans la physiologie, ou relève-t- elle d’une construction historique et culturelle ? ».

 

 

[105] - Fabienne Brugère, Le Sexe de la sollicitude, Seuil, Paris, 2008.

 

 

[106] - cf.Marianne, semaine du 22 au 28 mai 2010, propos recueillis par Philippe Petit

 

 

[107] - revue du MAUSS n°32 précitée, présentation de P.Chanial et A. Caillé

 

 

[108] - Marianne pré-cité : Fabienne Brugère rejette pour sa part la référence à la droite compassionnelle qui « se rapporte à la souffrance sociale comme à un spectacle qui émeut »

 

 

[109] - cf. revue du MAUSS n°32 précitée, présentation de P.Chanial et A. Caillé citant Christopher Lasch dans « La Révolte des élites » : « Pour douce que soit sa musique à nos oreilles, l’idéologie de la compassion est en elle-même l’’une des inßuences principales qui subvertissent la vie civique, car celle-ci dépend moins de la compassion que du respect mutuel. Une compassion mal placée dégrade aussi bien les victimes, réduites à n’être que des objets de piété, que ceux qui voudraient se faire leurs bienfaiteurs et qui trouvent plus facile d’avoir pitié de leurs concitoyens que de leur appliquer des normes impersonnelles qui donneraient droit au respect à ceux qui les atteignent. »

 

 

[110] - Paulo Henrique Martins, Démocratie participative et fondements symboliques de la vie associative, in : revue du MAUSS n°32 précitée, présentation de P.Chanial et A. Caillé

 

 

[111] - revue du MAUSS n°32 précitée, présentation de P.Chanial et A. Caillé

 

 

 

[112] - Comment-Aubry-se-blairise, 19 avril 2010

 

 

[113] - « Le but pour Martine Aubry, avec cette tribune dans Le Monde, est surtout de desserrer la contrainte de la logique comptable qu’on cherche à nous imposer en ce début de débat sur les retraite », François Kalfon

 

 

[114] - Marianne, semaine du 22 au 28 mai 2010

 

 

[115] - Selon NouvelObs.com (15 avril 2010) , Martine Aubry se serait également inspirée de Philippe Kourilsky (Le Temps de l'altruisme, Editions Odile Jacob ) qui fait de l’altruisme rationnel et accepté par tous le corollaire indispensable d'une meilleure prise en compte des libertés de chacun. Et de citer la phrase de Martine Aubry : « La société prend soin de vous, mais vous devez aussi prendre soin des autres et de la société » . Ce que le Nouvel.Obs, dans le même article, identifie comme « un parfum de « donnant-donnant » (qui flotterait au PS …) . Naviguerions-nous en fait entre compassion et utilitarisme, (quand c’est un « altruisme universel » que nous préférerions, à travers la fraternité - voir notre dernière partie) ?

Philippe Chanial notait , lors de son intervention à l’Institut Edgar Quinet pré-citée (janvier 2008) : «  (La) conception étroitement contributive de l’égalité et de la justice, mais aussi (la) dégradation charitable de la solidarité n’est pas nouvelle. Ainsi, Charles Gide, une grande figure du solidarisme et du coopérativisme sous la IIIème République, résumait la morale de l’école économique libérale à cette simple maxime : chacun doit recevoir l’exact équivalent de ce qu’il donne. Donnant/donnant ou, en version latine do ut des. Telle est selon Gide la seule justice, la seule conception légitime de la solidarité et la seule exigence d’égalité conforme à la « morale échangiste » des libéraux ».

 

 

[116] - voir : Philippe Chanial, La délicate essence du socialisme, l’association, l’individu et la République, Editions du Bord de l’eau, 300 pages, 2009

 

 

[117] - son livre, 2008 et son appel à changer le nom du PS

 

 

[118] - Philippe Chanial, « Faut-il en finir avec le vieux socialisme ? », Revue du MAUSS permanente, 15 décembre 2009 [en ligne]. http://www.journaldumauss.net/spip.php? article608

 

 

[119] - cf.Philippe Petit, Marianne 2.fr et Marianne, juin 2009

 

 

[120] - Philippe Chanial, Le socialisme intégral de Benoît Malon comme morale et religion de la solidarité, La revue socialiste n°38, 2è trimestre 2010, pp 15-20

 

 

[121] - Quel débat plus actuel ? Quel débat en fait plus concret ? Nous évoquions en début de cette partie, le livre d’Alain Supiot, spécialiste du droit du travail. ( L’Esprit de Philadelphie - La justice sociale face au marché total , Seuil, janvier 2010 ) : se refusant à réduire l’homme à l’état de pure ressource économique, il s’efforce de retrouver l’esprit de 1944, celui de la première Déclaration internationale des droits à vocation universelle. Afin de trouver les moyens «  d’endiguer la renaissance féodale en cours et la culture politique du « deal ». En d’autres termes, contre la « suzeraineté, et la montée des les liens de dépendance, transformer les rapports de force en rapports de droit !

 

 

[122] - voir RDMP, « Philippe Chanial / La délicate essence du socialisme », Revue du MAUSS permanente, 30 janvier 2010 [en ligne]. http://www.journaldumauss.net/spip.php?article607

 

 

[123] - Alain Bergounioux, « La délicate essence du socialisme. L’association, l’individu et la République », Revue du MAUSS permanente, 18 janvier 2010 [en ligne]. http://www.journaldumauss.net/spip.php?article620

 

 

[124] - cf. l’« individualisme logique et complet »

 

 

[125] - cf. Collection Bibliothèque républicaine dirigée par Vincent Peillon aux éditions du Bord de l’eau : nouvelles publications de La morale sociale de Benoît Malon et de l’Essai sur l’individualisme d’Eugène Fournière en 2007 et 2009, présenées par P.Chanial

 

 

[126] - « La gauche post-socialiste – et davantage libérale que républicaine – a dès lors pu sembler vouée à la seule révolution qu’il lui reste, la révolution permanente des mœurs, par ailleurs parfaitement adéquate aux exigences du capitalisme mondialisé contemporain et , plus encore risquer de corrompre l’idéal même d’égalité qui la distingue fondamentalement de son adversaire de droite. Cet idéal peut-il se réduire à doter, à armes égales, les individus afin qu’ils puissent, dans des conditions d’équité, prend part et tirer légitimement leur épingles du jeu dans cette course que constitue le concurrence économique et la lutte pour les positions sociales les plus enviables ? »

 

 

[127] - Julien Dray, Libération du 27 mars 2007

 

 

[128] - Dominique Reynié, Libération du 27 mars 2007

 

 

[129] - Julien Dray, Libération du 27 mars 2007

 

 

[130] - Contre l'ordre moral : l'ordre juste ! (Réponse aux amalgames de Chantal de Gournay dans Libération du 19 octobre) , Mediapart, 19 Octobre 2009

 

 

[131] - «  ne saurait être l'alibi des chasseurs de proie s'abandonnant à leurs pulsions en appelant libération … »

 

 

[132] -cf. Philippe Chanial, Le socialisme intégral de Benoît Malon comme morale et religion de la solidarité, La revue socialiste n°38, 2è trimestre 2010, page 18 : et éviter de n’envisager «  la révolution sociale que sous l’ angle des avantages matériels » … Cela suppose « sécularisation » et « socialisation de la morale » en vue du « bonheur collectif ou de l’intérêt social »

 

 

[133] - Ségolène Royal et l'"ordre juste", par Michel Noblecourt - LeMonde.fr, 3 juillet 2006

 

 

[134] - n°38, avril 2004

 

 

[135] - Le monde comme je le vois , Gallimard, 2005

 

 

[136] - cf. Vincent Peillon, La révolution française n’est pas terminée, Seuil, 2008, page 167

 

 

[137] - NouvelObs.com, 27 octobre 2009

 

 

[138] - Rue 89, le 14 février 2010

 

 

[139] - Conseil Constitutionnel, 9 mai 1991

 

 

[140] - http://www.desirsdavenir.org/node/31835

 

 

[141] - « dans ce bassin minier du Pas de Calais qui n'a pas oublié la catastrophe de Courrières et prend la valeur travail au sérieux », Ségolène Royal tient à «  parler d'une valeur dont elle sait qu'elle a un sens, ici, à Courrières, avec ses dizaines de citoyens massacrés par l'occupation nazie. Ici, en cette journée de la déportation, comment ne pas évoquer l'idée de nation ? »

 

 

[142] - Et d’ajouter : « Quand j'entends la droite parler de patriotisme économique pour justifier, au mépris de ses engagements, la privatisation d'un service public, Gaz de France, je vous dis que c'est un détournement de sens car aimer son pays c'est d'abord avoir le souci de le servir et non pas de se servir, c'est lui donner les moyens, à la France que nous aimons, d'être forte et de saisir ses chances, c'est faire confiance à sa jeunesse, c'est respecter ses anciens, c'est faire en sorte de déployer ses énergies vitales et collectives. C'est cela le patriotisme et c'est cela aimer la France ».

 

 

 

[143] - « Mais ne lui renvoyer que l’image de son déclin et la sommer sans cesse de renoncer à son « exception » pour se banaliser et s’aligner sur les pays où, paraît-il, le marché sans entrave pourvoirait au bonheur de tous, c’est rendre à la France un bien mauvais service et attiser l’exaspération des Français (...). »

 

 

[144] - « C’est une France qui reconnaît, en 2001, l’esclavage comme crime contre l’humanité. C’est une France qui demande, à juste titre, pardon pour la Rafle du Vel d’Hiv’ et le régime de Vichy. C’est une France qui refuse de reconnaître des « aspects positifs » dans la colonisation, système de domination et d’asservissement. »

 

 

[145] - Maintenant , livre d'entretiens avec Marie-Françoise Colombani (Hachette Littératures)

 

 

[146] - « Je ne suis pas choquée que des artistes s'en emparent pour le revisiter à leur manière : Gainsbourg l'a fait, Higelin aussi. A l'art tout est permis si c'est avec talent ».

 

 

[147] - Libération, 27 mars 2007

 

 

[148] - « Après tout, la Cartoucherie est un bâtiment public, le Théâtre du Soleil est un service public. Un drapeau, c'est une archive que l'on ne peut renier, c'est l'histoire d'un peuple avec ses heures nobles et ses heures sombres. Et puis, il ne faut rien laisser à Le Pen, rien, sauf la haine... »

 

 

[149] - Et d’ajouter : « Il faudra vite ajouter le drapeau européen au drapeau français. L'Europe sera d'autant plus belle qu'elle sera chatoyante de tous nos drapeaux préservés et solidaires ».

 

 

[150] - Vincent Peillon, La Révolution française n’est pas terminée, Seuil, 2008, page 33

 

 

[151] - Ibid, page 40

 

 

[152] - Le Moment républicain en France, Gallimard, NRF-Essais, 2005

 

 

[153] - voir : Vincent Peillon, op.cit., pages 50 et suivantes, s’appuyant sur les analyses de JF Spitz

 

 

[154] - cf. Aux sources du républicanisme français , article, Bruno Antonini, Fondation Gabriel Péri

 

 

[155] - Vincent Peillon, op.cit., pp 64 ets.

 

 

[156] - cf .Joël LE DEROFF de la Fondation Jean-Jaurès - Esprit critique - numéro 85 - 7 octobre 2008 sur le livre de Vincent Peillon pré-cité

 

 

[157] - Philippe Chanial, La délicate essence du socialisme, l’association, l’individu et la République, Editions du Bord de l’eau, 300 pages, 2009

 

 

 

[158] - Vincent Peillon, op.cit., page 112

 

 

[159] - Rue 89, 14 février 2010

 

 

[160] - cf R. Badinter, Sénat, séance du 26 janvier 1999

 

 

[161] - Recueil des grandes décisions du Conseil constitutionnel , n° 33 bis

 

 

[162] - Mme Evelyne Pisier devant la Commission des lois du Sénat le 19 janvier1999

 

 

[163] - KRIEGEL, Blandine, Parité et principe d’égalité, in : EDCE, 1996, page 384

 

 

[164] - Qu'est-ce que la république laïque? - III - par Jean-Marie Kintzler , - Mezetulle. Blog de Catherine Kintzler, 22 janvier 2010

 

 

 

[165] - le lien religieux fonde désormais uniquement le lien communautaire, lien qui unit un corps de fidèles, le corps d'une Église.

 

 

[166] - d’ailleurs, ce serait laisser celle-ci aux prêtres ( Joël LE DEROFF de la Fondation Jean-Jaurès - Esprit critique - numéro 85 - 7 octobre 2008, sur le livre de V. Peillon pré-cité)

 

 

[167] - Vincent Peillon, La Révolution française n’est pas terminée, Seuil, 2008, pp 143-160

 

 

[168] - L’action de l’État révèle la spécificité de l’individu dans l’éducation  ; la laïcité parie sur des hommes libres, maîtres de leur jugement, capables de concorde authentique. L'école laïque apprend à ne pas transiger avec l'exigence de vérité (cf. Henri Pena-Ruiz, Dieu et Marianne)

 

 

[169] - V.Peillon, op.cit., page 159

 

 

[170] - Il n'est pas acceptable de sacrifier l'émancipation laïque à la libération sociale, par Henri Pena-Ruiz, LE MONDE, 19 février 2010

 

 

[171] - Henri Pena-Ruiz , Dieu et Marianne: philosophie de la laïcité, PUF, 1999, 2e édition 2004

 

 

[172] - « C’est à ce prix – qui n’est certes pas mince – que la République peut enfin mériter d’être cette unité dans la diversité, cette aspiration à l’universel au-delà d’un modeste hexagone, ce rêve français dont nous avons la charge.»  (Claude Nicolet, L’idée républicaine en France, éditions Gallimard)

 

 

[173] - Le Figaro, 23 avril 2010

 

 

[174] - après la présentation par le NPA d’une candidate voilée aux élections régionales de mars 2010  : Il n'est pas acceptable de sacrifier l'émancipation laïque à la libération sociale, par Henri Pena-Ruiz, LE MONDE, 19 février 2010

 

 

[175] - son blog, Touner la page, 21 mai 2010

 

 

[176] - « Il est clair que le débat sur l'identité nationale, assorti de la formulation contestable du président de la République ("la burka n'est pas bienvenue en France") constitue un contexte suspect et déplorable qui risque de disqualifier une cause juste (la laïcité) en la détournant vers un nationalisme d'exclusion qui joue un rôle évident de diversion par rapport à la gravité humaine et sociale de la crise en cours. Mais le détournement d'une cause juste invalide-t-il celle-ci ? Non, à l'évidence ».

 

 

[177] - « L'opposition du national et de l'étranger est nauséabonde. Cela veut dire qu'il n'y a pas à rejeter une tenue parce qu'"elle n'est pas de chez nous", mais parce qu'elle est incompatible avec le droit et la liberté des femmes. Si c'est le cas du voile intégral ou du voile partiel, ce n'est pas seulement en France qu'il n'est pas "bienvenu". C'est partout dans le monde.Nous avons un devoir de solidarité à l'égard des femmes qui, en Iran et partout dans le monde, refusent le voile. Il en va de nos responsabilités internationalistes. Que diront ces courageuses militantes si la République laïque à laquelle elles se réfèrent comme à un exemple consacre le port du voile qu'elles combattent ? »

 

 

[178] - cf. Le Deroff précité

 

 

[179] - Assemblée nationale.fr

 

 

[180] - hommes de plus de vingt et un ans.

 

 

[181] - et abolition de la peine de mort en matière politique.

 

 

[182] - « Dans le contexte d'une grave crise économique, les élections à l'Assemblée nationale constituante d'avril 1848 marquent le retour des notables de province. Une répression sanglante contre la révolte des quartiers populaires a lieu fin juin, à la suite de la fermeture des ateliers nationaux, symbole du nouveau régime. " Je ne crois pas à l’avenir d’une République qui commence par faire tirer sur ses prolétaires ! ", s’indignera alors George Sand » (Assemblée nationale.fr)

 

 

[183] - Vincent Peillon, op.cit, page 102

 

 

[184] - « trait commun aux écoles libérale, marxiste et positiviste » , ibid, page 44

 

 

[185] - Philippe Chanial, Justice, don et association- La délicate essence de la démocratie, Paris, 2001, page 187

 

 

[186] - ibid, page 191

 

 

[187] - Vincent Peillon, op.cit, page 116 : « Coopération constante, régulière et obligatoire de tous »…  « L’Etat républicain qui n’a pas de droits, mais seulement des devoirs se doit d’intervenir »... « Autant l’Etat est tenu de favoriser l’avènement de ses membres à la personnalité, autant il est tenu de respecter chez eux la personnalité une fois formée »

 

 

[188] - Vincent Peillon, op.cit., page 116

 

 

[189] - op.cit,

 

 

[190] - Vincent Peillon, op.cit, page 120

 

 

[191] - « de Pierre Leroux à Ferdinand Buisson », ibid,, page 120

 

 

[192] - Vincent Peillon, op.cit, page 117

 

 

[193] - ibid, page 117

 

 

[194] - Ibid : V. Peillon se fonde sur la doctrine de la solidarité de Léon Bourgeois, qui voit la notion de dette comme centrale : « c’est à la libération de la dette sociale que commence la liberté », et le débat engagé avec Ferdinand Buisson

 

 

[195] - ibid, page 119

 

 

[196] - Jacques Attali, Fraternités, une nouvelle utopie, Fayard, 1999

 

 

[197] - cf. Le Moment fraternité , Régis Debray, Gallimard, février 2009

 

 

[198] - http://www.dailymotion.com/video/x8t813_regis-debray-un-moment-fraternite-a_news

 

[199] - Ce que serait ma gauche, Le Monde, 23 mai 2010

 

 

[200] - « économiques, écologiques, sociales, politiques, pédagogiques, urbaines, rurales, qui trouvent des solutions à des problèmes vitaux et sont porteuses d’avenir. Elles sont éparses, séparées, compartimentées, s’ignorant les unes les autres... Elles sont ignorées des partis, des administrations, des médias ».

 

 

[201] - Jacques Attali, Fraternités, une nouvelle utopie, Fayard, 1999

 

 

[202] - cf. Thierry Menissier, blog

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